Il est l’un des sécurocrates du régime qui détecte facilement les atteintes à la sûreté intérieure du Congo, mais n’a pu voir venir le voleur qui a subtilisé près de 33 millions cfa en euros dans son bureau de la DGST. Le Général Philip Obara a été humilié par un voleur qui a emporté les 50000 euros qu’il gardait dans son bureau. Le premier flic du Congo est dans tous ses états comme tout bon voleur qui n’aime pas perdre.
C’est la casse du siècle perpétrée dans l’enceinte du bâtiment des services secrets Congolais.Le butin emporté par le ou les voleurs est évalué à 33 millions cfa soit une année et demi de salaire d’un général des FAC.
A la direction du CID ex DGST, les agents secrets s’activent pour retrouver le ou les courageux qui se sont introduits dans le bureau de leur patron Obara pour voler de l’argent qu’il y gardait. Ce sont 50000 euros ( 33 millions cfa ) qui ont disparu dans la nature que Philip Obara va tenter de retrouver.
Cet argent dont la provenance est douteuse était jalousement gardé dans un tiroir sécurisé et qui a été forcé par les ou le voleur. Pourtant le bâtiment de la DGST est fortement gardé et sécurisé avec les cameras de surveillance. On parle d’un coup interne qui a pour unique but d’humilier Philip Obara.
Depuis un certain temps, les ressortissants de la Cuvette centrale ne gobent plus être sous les ordres d’un Général de la Cuvette-Ouest, considérée comme le moins que rien de la Grande Cuvette. Tous les coups sont permis pour déloger de la tête du CID à Philip Obara sans se soucier de son professionnalisme. Que dire si les Mbochis sont allergiques à l’intelligence.
Les cameras du bureau du Général Obara ont été sabotées par ceux qui ont commis ce vol et la porte n’a pas été non plus forcée. Mais l’entourage du Général Obara parle d’une conspiration interne qui vise à l’évincer de là. Quelques jours plus tôt, des hommes en civil suspects rodaient autour de sa résidence privée.
L’enrichissement du Général Obara est aussi évoquée par le clan de l’Alima qui s’en étonne, et l’accuse de détourner des milliards que le pouvoir met à sa disposition pour la bonne marche du CID qui consiste à rétribuer les informateurs.