Alors que le Congo est en pleine négociation avec le FMI qui lui oblige de réduire le train de vie de l’État d’une part et que d’autre part, de millier des enseignants vacataires exigent leur intégration dans la fonction publique, le ministre Raymond Mboulou s’est permis pour ses besoins sexuels de faire fonctionnaires fictives du Congo ses 24 « petites » Kinoises avec des salaires allant de 300.000 frs à 500.000 frs.
Des papas au dernier virage de leur vie qui ne se soucient plus de laisser des empreintes dans l’administration, mais qui s’activent à frapper à la porte de l’enfer. Aucun congolais ne parlera jamais en bien de la majorité des autorités actuelles du pays dans 20 ans ou 30 ans, exceptés ceux qui bénéficient de leurs faveurs à l’instar de ces 24 filles de la RDC, qui ont été intégrées de manière fictive dans la fonction publique du Congo.
Leur unique mérite est celui de satisfaire sexuellement le pédophile ministre Zéphyrin Raymond Mboulou. Pour services sexuels rendus avec brio, ces 24 Kinoises bénéficient de cette prestation salariale à vie, même si le ministre arrivait à quitter le gouvernement ou la terre des hommes.
Certaines parmi elles affirment être dans cet état depuis des années au point d’avoir construit à Kinshasa et disposer des business qui rapportent gros. Paradoxalement devant des ministères de la république, des volontaires manifestent chaque fois pour exiger leur intégration dans la fonction publique.
Ces 24 Kinoises du ministre Mboulou sont agents du ministère de l’intérieur, des affaires étrangères où on ne les voit jamais. L’une d’elles est conseillère au parlement. « Tout cela à cause des fesses ! » lance une Congolaise.
Le nom du ministre Mboulou revient toujours dans cette prostitution entre Kinshasa et Brazzaville. Se servant des intermédiaires Kinois, plusieurs autorités de Brazzaville font venir de la RDC des filles mineures comme objets sexuels.
Si certaines s’installent à Brazzaville comme maîtresses attitrées, d’autres repartent à Kinshasa avec des fortes sommes d’argent et préfèrent faire des traversées du fleuve quand le besoin se présente