En Russie, la Douma vient de voter en sa majorité contre la propagande LGTB dans le pays. Au Qatar, malgré les pressions occidentales, le pays est resté ferme sur l’interdiction de toute sorte de propagande homosexuelle. Mais au Congo, dans les couloirs du parlement, on apprend qu’un groupe de députés penseraient proposer une loi légalisant l’homosexualité. « Une idée stupide et diabolique dont les promoteurs seraient ces jeunes députés qui livrent leurs fesses aux vieux et barons du pouvoir » selon un assistant parlementaire.
Certains députés qui le sont devenus que grâce à leurs fesses qu’ils livrent à certaines autorités militeraient en faveur de la légalisation de l’homosexualité au Congo. Il se murmure que l’hypocrisie ne devrait plus être utilisée par de nombreux parlementaires qui seraient en réalité des grands adeptes de l’homosexualité.
Nommés en représentation du peuple pour voter des lois qui visent l’amélioration des conditions de leurs vies, certains députés se perdent au parlement en privilégiant leur orientation sexuelle cachée. Ils penseraient mettre sur la table du bureau, une proposition de loi normalisant la pratique de l’homosexualité.
Mais la société congolaise sous l’emprise des traditions Bantous n’est pas prête et sans doute ne le sera jamais à accepter les pratiques contre nature de l’homosexualité. Avec l’arrivée au pays de la franc-maçonnerie, l’homosexualité s’est vite répandue au sein de l’élite congolaise.
Aujourd’hui, nombreux sont des hommes qui sont des époux de leurs femmes, mais des épouses d’autres hommes. C’est la consécration de cette pratique devenue le chemin de la réussite professionnelle des jeunes au Congo.
Un bon nombre des jeunes députés le sont devenus après avoir accepté ce sacrifice de s’adonner à l’homosexualité. Ce sont eux qui souhaiteraient légaliser cette orientation en se servant de l’assemblée nationale. Pour une députée, il s’agirait d’un moyen de pression de ces députés auprès des autorités sur les effets négatifs de l’homosexualité dans les institutions. Le rejet en bloc des autorités de cette proposition de loi montre à quel point, elles ont honte d’exposer sur la place public ce qu’elles adorent an cachette.