Dubaï : parti de Paris rencontrer sa Go Facebook du Congo, un parisien retrouvé mort dans un hôtel
Un voyage amoureux qui a mal tourné et a été le dernier du vivant de APO, un ressortissant congolais résidant dans la banlieue parisienne. Il s’est rendu à Dubaï en plan love pour rencontrer sa petite amie du pays qu’il a connue quelques mois plus tôt sur le réseau social Facebook. La fille serait arrivée deux jours et aurait occupée la chambre d’hôtel réservée en ligne par le parisien. Il est mort dans son sommeil après une folle de nuit de sexe, selon la version de la fille.
Il y a de ses infidélités qui finissent mal dans la vie, à l’instar de celle de ce ressortissant congolais résidant en France et retrouvé mort dans une chambre d’hôtel de Dubaï aux Émirats Arabes. Marié et père de trois enfants en France, il y est allé à la rencontre de sa maîtresse du Congo pour une première rencontre.
Selon les premiers éléments de l’enquête, il aurait été victime d’un arrêt cardiaque dans son sommeil. Arrivé dans la matinée en provenance de Paris, il a enchaîné des coups avec sa maîtresse qu’il rencontrait pour la première fois. Elle parle de 8 coups.
Il ressort du témoignage de la fille, totalement traumatisée et affectée par ce malheur, qu’ils se sont connus il y a près de six mois sur Facebook. Après s’être tombés amoureux, l’homme lui aurait proposé de se voir à Dubaï et se serait occupé intégralement du voyage au départ du Congo.
Arrivée deux jours plus tôt, réservation de l’hôtel en main faite par le parisien en ligne depuis la France, elle s’est même ramené à l’aéroport l’accueillir. Il était presque midi quand il a débarqué à Dubaï et une fois à l’hôtel, le parisien est tout de suite passé à l’action et cela a duré toute la journée avant qu’ils n’aillent prendre leur dîner.
De retour à l’hôtel, l’homme est monté sur elle sans se fatiguer et cela toute la nuit. Tout porte à croire que le parisien aurait appliqué l’aphrodisiaque Ankoro sur son sexe, puisque la fille l’aurait ramené du pays sur sa demande.
C’est au matin qu’elle a remarqué que l’homme ne respirait plus et en a alerté la réception de l’hôtel qui a appelé les secours. Il était déjà mort selon le constat des secouristes. Entendue par la police, la fille a été remise en liberté. Le problème se pose sur le pays du transfert de sa dépouille.
Son épouse et ses enfants restés en France sont dans une situation d’angoisse et souhaiteraient qu’il y soit enterré alors que la famille au Congo pense le contraire