Parmi ces 1500 immigrés, figurent tous les membres de la direction du PCT- France qui ont été fait fonctionnaires au Congo et profitent aussi des allocations en France. L’ex ministre Andely, avait décidé de mener la guerre à tous les fraudeurs de la fonction publique, et aussi publier les noms de ces 1500 Congolais qui d’une manière ou d’une autre volent aussi la France à l’instar du porte- parole du PCT- France, qui ne vit que des allocations alors qu’il touche un salaire comme fonctionnaire fictif Congolais évalué à 1200 Euros.
Au Congo, l’actuel ministre des finances en a marre de ces Congolais irresponsables qui vivent en France comme immigrés, mais qui perçoivent un salaire comme fonctionnaire fictif du Congo. Ils sont au total 1500 qui se la coulent douce à l’hexagone et dans ce lot, on compte des militaires, gendarmes, policiers déserteurs, maîtresses et enfants des politiciens, et d’autres encore par accointances religieuses, amicales et familiales.
Ces fraudeurs sautent chaque fois pour certains dans le premier vol à destination du pays quand il y a une rumeur de contrôle des fonctionnaires ou à défaut, activent leurs réseaux ethniques pour ne pas être chopés. Le comble est que d’autres parmi eux se passent pour des opposants virulents au régime actuel de Brazzaville.
Dans un tête à tête avec le président de la république, l’ex ministre Rigobert Andely avait reçu le feu vert de mettre fin à cette fraude en bande organisée et au besoin de poursuivre en justice tous ces fraudeurs de l’État congolais depuis la France.
Le monde operandi de ces fraudeurs consiste à déléguer au Congo, une personne de confiance qui se charge à chaque virement des salaires de retirer le leur avec la carte bancaire dans la succursale y relative. Un général des forces armées congolaises a fait fonctionnaires ses deux filles et sa maîtresse de la RDC qui vivent à Poissy.
La comédie est de voir un membre de la direction PCT – France jouer les moralisateurs sur les réseaux sociaux alors qu’il est un cas social dans son HLM à le Mans où il est de surcroît « mario ». Il est un fonctionnaire fictif au Congo avec un traitement mensuel de 1000 euros qui lui permettent de se procurer des costards et s’afficher dans les médias de la diaspora usant de son gros français pour vanter les bienfaits du pouvoir.