France : les femmes Congolaises ont quitté leurs maris pour s’attacher à la CAF à cause des allocations.
Si un jour la France décidait de suspendre les allocations familiales, la plupart des femmes impolies congolaises changeraient en bien. Si dans la Bible, il est dit que l’homme quittera sa famille et s’attachera à sa femme pour devenir un, en France, ce sont les femmes Congolaises qui ont quitté leurs maris pour s’attacher à la CAF, et les deux sont devenues une seule chaire soutenue par les allocations. La femme Congolaise est prête à tout pour humilier son homme à cause des euros de la CAF.
Jean de Dieu Mpelany, un congolais de 52 ans est mort seul dans son lit, abandonné à son sort dans un foyer social après que sa femme qu’il a ramené du Congo lui ait mis à la porte. Pourtant ses amis en France lui avaient déconseillé cette aventure d’aller prendre une femme au pays, hélas ! Il était envoûté par l’amour.
A peine arrivée en France, la femme a compris que la CAF était l’alliée la plus sûre et s’est arrangée à se débarrasser de l’homme qui lui a sorti de la misère au Congo. Elle, y compris sa fille conçue avec un autre homme au Congo, et que Jean de Dieu Mpelany avait adopté et fait venir en France, ne se sont même pas rendu aux obsèques.
A Vitry-Sur-Seine, Armand Nsondé, dort depuis trois mois sur la canapé de sa petite-sœur, la seule qui se retrouve à ses côtés. Sa femme, qu’il a aussi ramené de Pointe-Noire, lui a fait cocu non seulement avec un ami, mais l’a mis aussi à la porte. « Dieu merci que je t’avais aussi fait venir ici en France » chuchote-t-il souvent à sa petite-sœur auprès de laquelle, il a trouvé refuge.
Grâce aux allocations accordées par la CAF, les congolaises ont opté pour le phénomène « femmes seules ». Privés de la présence paternelle, nombreux sont les enfants qui en pâtissent. Éducation zéro , et terminent leurs vies comme leurs mamans à faire des petits boulots dans un pays où toutes les chances sont permises pour aller loin dans les études.