Le temps est la meilleure réponse à toute démagogie et surtout à toutes hallucinations. Dans ses rêves, Denis Sassou Nguesso, avait promis de faire du Congo un pays émergent en 2025. Tout de suite toute sa bande dont les soi-disant intellectuels se sont lancés dans la propagande idiote apportant des arguments de tout genre aux septiques rationnels. Le marseillais d’Ewo Asie Dominique a même bénéficié des espaces sur télé Congo pour faire avaler au peuple ce rêve utopique que personne n’ose plus évoquer à ce jour y compris son mentor Sassou.
Malgré la succession des promesses mensongères de Denis Sassou Nguesso, son troupeau de moutons s’activent avec ferveur chaque jour pour défendre le dernier en date. De nos jours, ce troupeau crie et haut fort sur la promesse d’embauche de 2000 enseignants. Dans quelques mois, ce sera un autre mensonge jusqu’au suivant.
« Bozoba eza volonté ! » disent souvent les Kinois. Et on peut facilement déduire que le troupeau de Sassou s’auto-aliène parfois pour des miettes. Des personnes cohérentes auraient depuis compris être en face d’un menteur de grande envergure.
Le baromètre économique de ces minables gouvernants est le paiement des salaires des fonctionnaires. Ayant payé celui de décembre à terme échu, ils ont osé affirmer que la sortie du tunnel était largement amorcée. Nous en sommes évidemment à des années-lumière.
Il faudra desserrer l’étau fiscal pour dynamiser les petits investissements nationaux , une économie nationale qui repose uniquement sur des entreprises et commerces étrangères est vouée à l’échec !
Dans ses discours, Denis Sassou Nguesso ne fait plus mention à son émergence 2025 pourtant tant vantée. En 2009, il promettait 40000 emplois aux jeunes et jusqu’à ce jour, c’est plutôt le chômage qui est devenu leur compagnon fidèle.
Le troupeau à Sassou croit que leur chef paie les Congolais avec l’argent sorti de ses poches et s’en vante sur les réseaux sociaux. Se réjouir du paiement de salaire avec l’argent de l’Etat par Sassou est comme remercier un distributeur automatique de vous livrer votre propre argent.
L’éffondrement par exemple de la corniche de Brazzaville a révélé aux Congolais l’idiotie demésurée des proches du pouvoir qui ont accusé le dérèglement climatique. Un changement climatique qui ne s’est attaqué qu’à la portion de cette corniche construite par les Chinois et épargné celle de la société française Razel.
Un pays est en danger quand les idiots ne se reconnaissent plus et pensent être intelligents plus que les autres.
C’était le tapage médiatique au point de nuire à la santé acoustique des congolais orchestré par certains congolais encore dans l’aveuglement. Ces fanatiques croyaient vraiment que Sassou Nguesso pouvait faire du Congo, un pays émergent à l’horizon 2025 quand bien-même ne fut ce que l’eau potable a du mal à couler dans leurs robinets. Être bête est un choix pour certains au Congo à l’instar de Asie Dominique de Marseille dont l’émergence pointe à EWO.
L’actuel chef de l’État Ivoirien, Alassane Ouattara l’a su bien le dire, Denis Sassou Nguesso est un incompétent de naissance qui n’a su rien faire de positif malgré toute la manne pétrolière du Kouilou. Voilà au moins l’appréciation d’une personne dotée de toutes ses facultés intellectuelles.
Par contre, les intellos qui se réclament de Sassou Nguesso se sont autozobatisé et pis encore l’ont montré à la face de tous les congolais. Des personnes qui ont intoxiqué les oreilles des congolais à longueur des journées sur une prétendue émergence du Congo en 2025 tel que rêvé inutilement par leur Papa Mobimba Sassou Nguesso.
Comme des gens sérieux, ils venaient expliquer sur Télé Foufou comment le pays serait émergent grâce à Sassou. Pourtant une fois chez eux, ils pouvaient constater le manque d’eau et d’électricité y compris lé dégradations de tous les services publics. Mais, ils y croyaient aveuglés par leur idiotie et fanatisme.
Aujourd’hui, en 2021, plus personne ne parle de cette fameuse émergence, bien que ces fanatiques hésitent encore à responsabiliser Sassou Nguesso de la situation actuelle du Pays, totalement à genoux devant le FMI.
Le pays est encore abonné au délestage alors qu’on ne peut jamais parler d’industrialisation sans suffisance énergétique. L’eau qui coule dans les robinets en 2021 laisse encore à désirer. Les caciques du pouvoir continuent de mourir dans les hôpitaux hors du pays.