Maîtresse d’un ministre bi de Sassou, PD Samira vient d’acheter 4 parcelles jumelées à ses parents
Son orientation sexuelle largement critiquée dans la famille et qui lui a valu d’être méprisée est au centre d’un débat houleux après le cadeau qu’il vient d’offrir à ses parents. Jean Félix M dit PD Samira, qui est la maîtresse d’un ministre du gouvernement Congolais a acheté pour ses parents, 4 parcelles jumelées dans la banlieue de Pointe-Noire. Il a fermé la bouche de ses détracteurs dans la famille.
PD Samira, la trentaine révolue, s’est toujours senti femme depuis son enfance sous la couverture de ses six sœurs. Unique garçon de la famille, son orientation sexuelle a déçu ses parents qui ont tout fait pour lui ramener à la raison. Des pasteurs, tradipraticiens ont été consultés en vain et même la chicotte n’a rien changé.
Ayant quitté Pointe-Noire pour être loin de sa famille, PD Samira s’est vite introduit dans le milieu huppé de Brazzaville au point de finir comme la maîtresse attitrée d’un ministre bisexuel de l’actuel gouvernement dirigé par Anatole Collinet Makosso.
A partir de Brazzaville, PD Samira a visité plusieurs fois Dubaï, Istanbul, l’Île Maurice et les États-Unis avec son amant ministre. De ses voyages à Kinshasa, il a bâtit une relation solide avec plusieurs filles et PD de la RDC travaillant au Congo-Brazzaville.
Malgré le rejet de sa famille à cause de son orientation sexuelle considérée comme une grande humiliation, PD Samira a toujours eu une grande considération pour elle et ne cessait de les transférer périodiquement de l’argent pour leurs besoins. C’est d’ailleurs lui qui paie les études des deux de ses sœurs au Sénégal.
Profitant de son séjour dans la ville océane où vit la majorité de sa famille, PD Samira a fait une grosse surprise à ses parents en leur offrant 4 parcelles jumelées à Djeno. Alors que les parents en sont réjouis, d’autres membres de la familles les fustigent d’avoir accepté ce cadeau. Mais pour PD Samira, c’est Dieu qui a influencé son orientation sexuelle et ses parents doivent l’admettre.