On comprend mieux pourquoi la police qui est si expéditive avec les opposants a du mal à en finir cette bande des délinquants qui n’agissent que dans les quartiers Nord de Brazzaville. Ces bandits sont en collusion avec la police qui les entretient dans le seul but de maintenir les populations de cette zone dans la peur. Un colonel de la police congolaise a été aperçu dans un Nganda de Massengo en pourparlers avec deux grands bébés noirs bien connus des riverains autour d’un pot.
Le phénomène bébé noir, ressemble de plus en plus à la rébellion du pasteur Ntumi. Les deux sont entretenus par le pouvoir dans le seul but de maintenir la population dans la terreur. La police congolaise qui est réputée dans la traque des opposants politiques au pouvoir enchaîne des défaites face à cette bande juvénile, responsable des meurtres et agressions.
Les populations les plus affectées par cette barbarie ont finit par être convaincues de la collusion entre ces jeunes bandits et la police. Au quartier Massengo, dans la partie nord de Brazzaville, les habitants ont été choqués de voir un haut responsable de la police partager un pot avec deux grands bébés noirs connus de tous. Le comble est que les deux bandits sont les chefs des deux bandes rivales que sont les Arabes et Américains.
Acculé par les riverains, ce colonel de la police a prétendu négocier une trêve entre les deux bandes rivales pour ces fêtes de fin d’année. « Et pourquoi pas les arrêter ? » s’est indignée une maman.
Les Arabes et Américains sont responsables de nombreuses agressions dont mortelles dans les quartiers Nord, où ils règnent en maigres. De temps en temps, la police fait semblant de les traquer pour confondre la population.
Des bébés noirs repentis ont toujours indexé directement le Général Ndenguet d’être leur autorité morale. La police justifie aussi ainsi des décaissements d’argent du Trésor pour des opérations de ratissage.