Il avait contacté les deux filles pour un trio afin de réaliser ses fantasmes avec deux filles noires. Un baptême pour ses premiers pas à Pointe-Noire au Congo où il est venu chercher la vie. Mais comme la majorité des Libanais, il a peu d’estime pour les Noirs et s’est cru en terrain conquis en refusant de payer la somme accordée au départ. La lesbienne qui joue le rôle de l’époux a appliqué ses qualités d’homme et a bien tapé le pauvre Libanais qui a dû débourser finalement le double du montant accordé.
Il s’appelle Abdil Tarek Fayoud, migrant Libanais venu se chercher au Congo en provenance du Liban, un pays en faillite, à la merci du Hezbollah et de la mafia. Habitué au Liban à mépriser la race noire comme 99 % des Libanais, il a néanmoins voulu réaliser ses fantasmes de coucher avec deux lesbiennes africaines.
C’est un travailleur Congolais, employé par les Libanais qui lui a servi de commissionnaire auprès de ce couple des lesbiennes habitant le quartier Mouyondzi. Les deux filles n’ont pas hésité à accepter très alléchant transmis par le commissionnaire Congolais, du reste de la même ethnie qu’elles.
La rencontre a été fixé dans un hôtel discret à la base, les filles ayant refusé de se rendre au domicile du Libanais à cause des précédents. Après plus de 4 heures d’échanges de plaisir mutuel, le sujet Libanais qui s’est dit insatisfait a voulu revoir à la baisse le tarif accordé. Ce qui a énervé les lesbiennes : « Je t’ai laissé baisé ma femme et tu veux tergiverser, fais attention à toi et ne me pousse pas à devenir folle » lui a averti celle qui joue le rôle du mari.
De l’incompréhension et la tête dure du Libanais s’en sont suivis les coups de tête et points de la lesbienne. Le pauvre Libanais a été pris en sandwich par les deux filles qui ont une force inexplicable.

Finalement le migrant Libanais a voulu calmer le jeu pour éviter de subir le pire en acceptant le diktat des lesbiennes soutenues par le réceptionniste de l’hôtel. Il a payé le double du montant accordé pour avoir tenté de jouer au malin.