L’actuel gouvernement de la république du Congo, compte en son sein sept femmes, qui, en principe devraient être nommées pour leurs compétences et dévouement pour la patrie. Hors, il ressort des dires d’un député du PCT, du reste nommé, que toutes ses femmes ,se sont retrouvées ministres après avoir livré leurs corps aux parrains du clan. Romy Oyo, est ce député qui ne sait pas contrôler sa langue et pour les besoins de matalana, après quelques gorgées de whisky, lâche les secrets d’état dans des milieux peu appropriés.
Ce témoignage de ce député de la circonscription de Ouenzé, vient juste confirmer les rumeurs qui circulent dans la ville au sujet de ses femmes ministres. Romy Oyo, qui a échoué dans les études au Maroc et en Afrique de l’Ouest, puis trafiqué des diplômes est celui qui a mis sur la place publique la véracité de ces rumeurs. Les sorciers connaissent leurs secrets et le mode de désignation à des postes de responsabilités de leur secte.
Accompagné de quelques amis dans un VIP de sa circonscription électorale, ce neveu de Jean François Ndenguet, malgré ses lacunes aime bien prouver qu’il est au parlement par mérite et non piston, bien que même son propre ombre ne le croit. Habitué à faire le songui songui sur les membres du gouvernement, les jeunes qui entouraient Romy Oyo, se sont acharnés d’abord sur la ministre de la jeunesse, Destinée Doukaga, avant de poursuivre avec Lidya Mikolo.
Jamais, ces bavards, n’ont accepté la présence de Doukaga au gouvernement et chaque occasion en est une pour l’attaquer. Il est vrai que cette ministre brille par une incompétence notoire peu digne d’une fille du Grand Niari.
Romy Oyo, excité par l’alcool, est rentré alors en scène pour rappeler que Doukaga n’est au gouvernement que pour dépanner sexuellement Kiki Sassou et quelques barons du PCT. Selon ce député, toutes les ministres du gouvernement le sont devenues par le même procédé que Doukaga.
On a appris à cet effet que Mikolo dépanne sexuellement Jean Jacques Bouya, Adelaide Mougani, la vieille le fait avec Willy Nguesso, Rosalie Matondo est la petite vieille du chef de l’État ainsi que sa propre nièce Arlette Soudan.
La vieille Dzondo est aussi le bord de Sassou Nguesso, et Ingrid Ebouka Babackas est la propriété de JDO.
Nul ne peut comprendre au pays, malgré leur bilan très négatif que ces femmes continuent d’être toujours ministres sans les faits soulignés précédemment. Le gouvernement de la république est donc une retrouvaille des jouisseurs sexuels. Le résultat est le KO actuel du pays.