Sassou se dit très déçu de Bouya sur la construction du barrage de la Liouesso dans la Sangha
Pour la construction du barrage de la Liouesso dans la Sangha, Jean Jacques Bouya a roulé une fois de plus dans la farine le Congo et son président. Il a détourné une bonne partie du budget et a confié le marché à une entreprise chinoise dont il est actionnaire.
Au PCT, on ne se cache plus pour appeler leur camarade membre Jean Jacques Bouya par son vrai nom de « voleur ». Il lui est reproché de détourner une grande partie des budgets de tous les grands travaux lancés par le pays. « Il est tellement gros qu’il aime aussi manger gros ! » estime une bouche autorisée du PCT. Des 54 milliards débloqués par le Congo pour la construction du barrage de Liouesso dans la Sangha, Bouya a volé 10 milliards contraignant les Chinois à livrer un ouvrage inachevé et limité.
Le 22 mai dernier à Brazzaville, le gouvernement congolais représenté par le ministres de la coopération internationale et de l’énergie et hydraulique signaient une convention avec le consortium sino-congolais ENERGAZ-CGGC ( China Grezhouba group corporation ) pour la construction des barrages de Nyanga et Morala dans le Niari d’une capacité totale de 331 mégawatts.
Mais la convention intégrait aussi et surtout la réhabilitation totale du barrage de Liouesso dans la Sangha, d’une capacité de 19 mégawatts et inauguré à peine en 2017 par Denis Sassou Nguesso et présenté par Jean Jacques Bouya comme un chef d’œuvre qui allait résoudre les problèmes d’électricité du dit département.
Voleur et menteur, Jean Jacques Bouya estimait que la mise en service du barrage de Liouesso apportera une forte impulsion aux activités socio-économiques dans la région. « Ouesso et d’autres localités du département de la Sangha ont désormais l’électricité pérenne, une grande première depuis les indépendances. Ce barrage est le point de départ du développement de l’économie de la Sangha qui ne reposera plus sur l’exploitation forestière mais aussi sur l’industrie et d’autres secteurs », renchérissait-il.
5 ans à peine après tout ce spectacle offert devant le chef de l’État, il s’avère que ce barrage n’a pas été construit selon les règles de l’art, une bricole de plus pilotée par Jean Jacques Bouya qui se plaît chaque fois à faire déplacer Denis Sassou Nguesso qu’il sait ignorant et amoureux des inaugurations de tout et n’importe quoi pour les honneurs.
Aujourd’hui, le pays est contraint de débloquer un autre pour en réalité finir les travaux de ce barrage pourtant mis déjà en service. Cet ouvrage ne répond pas et est une aventure comme Imboulou. Au lieu de verser aux Chinois qui sont ses associés les 54 milliards débloqués, Bouya n’en a donné que 44. Un saboteur du boulevard énergétique de son oncle Sassou Nguesso