Sibiti : Thierry Moungalla fuit sa résidence après une attaque nocturne des abeilles, ses slips volés
Le ministre candidat à la députation de la circonscription de Sibiti commence à payer les frais de son goût débordé du pouvoir après avoir fait écarter son adversaire populaire le docteur Mahoungou. Thierry Moungalla aurait fui sa propre résidence la nuit après avoir reçu la visite d’une meute d’abeilles mystiques. Il ne retrouve plus trois de ses slips.
Thierry Moungalla persiste et signe dans sa logique de demeurer l’unique voix de Sibiti au parlement et ainsi renforcer son pouvoir au sein du PCT bien que dans ce parti présidentiel sa peur du docteur Mahoungou fait jazzer. On le sait désormais impopulaire à Sibiti.
Malgré les protestations et menaces des habitants de Sibiti acquis à la cause du docteur Mahoungou, le fumiste Thierry Moungalla ne fléchit pas et cris partout qu’il incarne bel et bien le régime Sassou à Sibiti après le décès du doyen Clément Moungalla. Il ne se cache plus avoir prouvé au docteur Mahoungou ses capacités de nuisance en invalidant sa candidature.
Dans la nuit de mardi à mercredi plus précisément aux environs de 2 heures du matin une meute d’abeilles très révoltée a troublé le sommeil du ministre candidat Moungalla, visiblement lâché par les esprits Bayaka. Caché sous le lit, le ministre aurait imploré leur indulgence avant d’être exfiltré et trouvé refuge dans la famille du défunt Clément Mouamba.
Les notables et esprits de Sibiti ne lui demandent qu’une chose, la réhabilitation de leur fils, le docteur Mahoungou qui se soucie plus pour leur bien-être par rapport à Moungalla qui joue les petits blancs complexés.
La tension est montée d’un cran dans la capitale de la Lekoumou suite à l’invalidation par Thierry Moungalla de la candidature du docteur Mahoungou. Le ministre qui voyait déjà sa cuisante défaite a pris le devant afin d’éviter cette humiliation. Lui qui entretenait pourtant de bons rapports l’a poignardé au dos comme dans ses habitudes. Une hypocrisie en HD.
Les notables Bayaka et Balali en connivence pour l’occasion parlent d’un avertissement et avisent Moungalla et sa suite des prochaines représailles s’il ne fléchissait pas. « Il pourra tricher mais il n’aura plus jamais la paix et vivra toute sa vie avec cette trahison ! » conclu un vieux Bayaka.